That seditious activity: being alive
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Home » Le Jardin d’encre lu par Bernard Noël + toujours plus

Bernard Noel
Il faut l’écouter à la Maison de la Poésie en 2011 sur France Culture.
Les mots comme maux, pour, contre et malgré eux.
A Medellin, un extrait de ce même texte:

… et ceci:

Et son texte (avec ci-dessous un extrait): La Privation de Sens

Dans ce jeu des images, l’apparence est la principale marchandise : elle fait acheter du rien, mais elle fait aussi adhérer au rien du spectacle politique ou aimer le rien des postures sentimentales ou érotiques. Le bonheur est une image et l’avenir lui-même en est une autre. La réalité est désormais en trop.

Et une interview dans La République des Lettres: La Castration Mentale.
Avec un autre extrait: J’ai fabriqué le mot “sensure” pour désigner la privation de sens, qui me paraissaît caractériser une forme nouvelle de domination sans contrainte et sans violence, propre au “monde libre” (c’était en 1975). la sensure, au contraire de la censure, est imperceptible: elle fait le vide mental par l’abondance de l’information et du spectacle. le concept s’est enrichi plus tard du constat que l’espace visuel et l’espace mental forment une continuité sans séparation de telle sorte que toute déformation ou occupation du premier est aussitôt communiqué au second.
+ Son texte sur Publie.net: À Bas L’Utile.

+ 2012 Le Livre de l’Oubli

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